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Page:Tolstoï - Zola, Dumas, Maupassant.djvu/270

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APPENDICE

celui de l’humanité tout entière, de l’homme en général. En admettant même, ce qui est impossible, que l’homme pût s’arrêter et reconnaître l’erreur du passé, il repartirait bientôt sur une nouvelle voie, mais pour s’égarer de nouveau, puisqu’il s’est toujours égaré jusqu’ici.

Pour moi, avec mon cerveau de Latin, je ne peux comprendre ces spéculations métaphysiques. Cet éternel recommencement tourne vraiment à la chanson du Petit Navire.


FIN