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Page:Améro - Le Tour de France d’un petit Parisien.djvu/409

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LE TOUR DE FRANCE D’UN PETIT PARISIEN


Les ouvriers quittaient le travail (page 403).
pas ; les rues de Roubaix sont larges, propres voilà tout, Tourcoing est une bonne cité flamande. La merveille ici, c’est l’industrie qui l’a créée !

Quentin Werchave, tout frivole qu’il fût, aimait son pays et en particulier — ce qui n’est pas un défaut — son département. Il sut faire valoir aux yeux de Jean et de Martial la puissante activité de ces deux incomparables villes.

Lorsqu’on eut assez admiré, on s’en revint coucher à Lille.