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Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/208

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(L’embrassant) : Allons, allons ! un peu de courage. Tu as confiance en moi, n’est-ce pas ? Eh bien ! je te promets que, dans très peu de jours, nous serons de retour ici, et alors, plus de crainte, nous vivrons, désormais, tous les deux, heureux et tranquilles, auprès de papa.