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Page:Hugo - La Légende des siècles, 2e série, édition Hetzel, 1877, tome 2.djvu/287

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Oh ! certes, je sais bien, moi souffrant et rêvant,
Que tout cet inconnu qui m'entoure est vivant,
Que le néant n'est pas, et que l'Ombre est une Âme ;
La cendre ne parvient qu'à me prouver la flamme ;
Faire voir clairement le ciel, l'éternel port,
La vie enfin, c'est là le succès de la mort ;