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Page:La Blondine ou avantures nocturnes entre les hommes et les femmes, 1762.djvu/40

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mariés et que je ferai préſentement avec vous, ſi vous voulez. Lorinet me tâta auſſitôt le ſein ; mais il n’y trouva encore que les veſtiges de nos tetons, parce qu’ils n’étoient pas encore formès, ils pouvoient bien ſervir de parade, mais ils étoient trop petits pour ſoutenir les attaques. Si ces demies globes de chair n’ont pas aſſez de quoi vous plaire, dit Lillon à Lorinet vous trouverez un autre endroit plus bas qui ſuppléera à leurs defauts. Lorinet ſourit à ces mots et ſe jettant au cou de Lillon, il lui demanda la permiſſion de baiſer ſes tetons, Lillon le lui permit, il les baiſa donc amoureuſement et ſuça leurs boutons, il les fit manier à moi et encore à une autre Demoiſelle, nous les admirames, car quoiqu’ils ne fuſſent pas encore dans leur perfection, ils étoient pourtant deja aimables, ils étoient fermes, blancs, ronds, et d’une belle et juſte diſtance. Lorinet ne s’en contenta pas, il coucha encore Lillon ſur les juppes et ſa chemiſe, et nous la fit voir deſſûs deſſous ; je n’ai point vù de corps mieux pris, ſes cuiſſes ſont rondes et potelées, ſes feſſes blanches et polies, ſa partie naturelle eſt placée le plus avantageuſement qu’il ſe puiſſe faire et enfin elle eſt belle ; pendant que nous la régardions ainſi fixement, Lorinet la touchoit et la manioit deſſûs deſſous, il la baiſoit