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Page:Maupassant - Fort comme la mort, Ollendorff, 1903.djvu/190

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fort comme la mort

des besognes délicates et secrètes, les uns en acier, fins et coupants, de formes bizarres, comme des outils de
chirurgie pour opérer des bobos d’enfant, les autres ronds et doux, en plume, en duvet, en peau de bêtes inconnues, faits pour étendre sur la chair tendre la caresse des poudres odorantes, des parfums gras ou liquides.

Longtemps elle les mania de ses doigts savants, pro-