journaux sur son refus de servir le nouveau gouvernement : « Il ne peut résulter, dit-il, des journées de juillet, à une époque plus ou moins reculée, que des républiques permanentes ou des gouvernements militaires passagers que remplacerait le chaos. »
Avertissements étranges ! voix éloquente et sinistre, que l’on n’a pas assez écoutée !
Arrêtons-nous. Ces fragments portent avec eux trop de découragement et une tristesse trop profonde. Nous préférons revenir à ce qu’il disait en 1830 : « Que la France soit libre, glorieuse, florissante, n’importe par qui et comment, je bénirai le ciel ! »
Lorsqu’il fut de retour de cette campagne à travers la politique, il s’enferma à double tour dans la publication de ses œuvres complètes, et n’en bougea plus. Nous ne pren-