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Page:Stahl - Maroussia, 1878.djvu/257

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XVIII
NE JOUEZ PAS AVEC LES POIGNARDS

L’office était fini. Le grand ataman était rentré dans son palais. La chaleur était accablante, le soleil aveuglait par sa lumière. Le ciel se perdait dans les profondeurs de son azur.

Cependant quelques nuages noirs, venant de l’ouest, se montraient à l’horizon.