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Page:Yver - Princesses de Science.djvu/167

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princesses de science

Fernand était dans leur chambre, debout devant la fenêtre. Il haletait, les poings fermés, tout frémissant.

— Qu’as-tu ? mon Dieu ! qu’as-tu ? s’écria-t-elle, effrayée.

Il ne répondit pas. Elle vit ses traits convulsés. Il la prit dans son bras, la faisant ployer sous son étreinte et, les yeux terriblement tristes, il dit, étouffant presque :

— Moi aussi, je t’aurais voulue toute !