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Page:Améro - Le Tour de France d’un petit Parisien.djvu/700

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LE TOUR DE FRANCE D’UN PETIT PARISIEN

Cette morsure d’un chien enragé, — qui ne l’était sans doute pas, — fut un souvenir formidable que Méloir emporta du Bourbonnais : car sir William avait repris sa course : de Moulins il était parti pour Nevers, entraînant toujours après lui Maurice et Jean, ainsi que le Breton, — qui racontait à un chacun dans les wagons, combien il avait peu de chance avec la rousseaude Vivette, le failli merle Flohic et tous les chiens enragés de Moulins.