Aller au contenu

Page:Améro - Le Tour de France d’un petit Parisien.djvu/89

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
81
LE TOUR DE FRANCE D’UN PETIT PARISIEN


Jean s’établit à la première fourche de l’arbre (page 85).
son lit rocheux les mille ruisselets filtrant sous le gazon des prairies ou suintant le long des hautes falaises, s’épandait elle-même en cascades retentissantes, qui franchissaient de distance en distance une de ces scories gigantesques que quelques géologues appellent dykes : blocs de matières volcaniques, vomies à l’état liquide, à l’époque de la formation du Massif cen-