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LE COMTE
Qu’on me le donne.
LA DUCHESSE
Et vous feriez le sacrifice
De celui-ci ?
LE COMTE
Pour l’autre, oh ! oui, mais il attend.
Montrant d’un geste furieux la fenêtre qui est à gauche des deux lits.
Boisrosé ! Kerlevan ! Qu’on le jette à l’étang.
Avec la pierre au col et les deux mains liées.
LA DUCHESSE, montrant Suzanne d’Églou, à demi-voix.
Vos vengeances seront par ses larmes pliées :
Et l’Anglais sera pris tout à l’heure... Attendons.
JACQUES DE VALDEROSE, fièrement, avec la voix encore pleine de larmes par moments.
Mais moi, je ne veux point ni pitiés ni pardons.
A la duchesse, montrant le comte.
Votre bonté me touche, et la sienne m’outrage.
Quand il faudra mourir, j’aurai plus de courage