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SABBAT

treint et me disperse. Mais, quand tu disparais, comme tu grandis, comme tu déploies ton âme, étendard de mon éternelle victoire, comme tu me groupes autour de ton harmonie parfaite, comme je règne au milieu de tes colères et de tes nostalgies, comme je joue avec cette bête rétive : ta joie, comme je me complais dans le crime savoureux et divin, notre crime, tu sais : la fraternité amoureuse !…