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Page:Ridel - Ma captivité dans les prisons de Séoul, 1901.pdf/185

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DANS LES PRISONS DE SÉOUL.

encore aimer dix mille fois plus la Corée, et ne fait qu’augmenter mon regret d’être obligé de quitter un si beau pays, dont les habitants ont été pour moi remplis de prévenances. J’espère bien qu’un jour le gouvernement nous permettra d’y rentrer ; vous pouvez être certain qu’alors, je m’empresserai de revenir.

PIE IX. (P. 178.)

Le mandarin se mit à rire et les assistants, me dévorant presque des yeux, disaient : « Comme c’est tout de même un brave homme. »

Nous nous mettons en marche, on attendait notre sortie, et, comme la veille, la foule était